Mais, faisant bonne tête (sûr?) contre mauvaise fortune, ils sont restés à l'estrade pour ce qu'ils étaient venus faire : soutenir la candidate de son parti à la mairie de Strasbourg.
Je me demande ce que pouvait penser d'un si opportun soutien madame la candidate alsacienne. Il paraît, d'après la presse, qu'ils sont repartis dans le même train mais pas dans le même wagon. F. Fillon ne voulait peut-être pas gâcher le gros cadeau qu'il a reçu d'un Copé emberlificoté dans ses histoires peu reluisantes, après lui avoir ravi la présidence du parti avec les moyens que l'on sait.Et ceux qui sont venus voir une bataille à « couteaux tirés » sont rentrés bredouilles. Le ticket d'entrée n'était pas cher, mais le spectacle, finalement, ne valait rien, pas de sang et pas de vrais baisers. Oui, vraiment un métier de chien. © JorgeMagazine Humeur
Quel métier de chien, que celui d'homme politique en campagne !Hier, à Strasbourg, les deux hommes, J.F. Copé et F. Fillon tenaient meeting ensemble.On n'a pas parlé des scellés que Copé aurait fait poser dans la pièce où il a confiné les comptes de la boite. Les comptes eux-mêmes, sont censés avoir été déposés à la commission de contrôle et sont donc publics. Mais, il y aurait donc des parties moins publiques que d'autres à protéger de la curiosité des copains, car je vois mal les citoyens ordinaires se pointer au site de l'UMP pour tenter de se faire un cinéma en feuilletant les papiers de la comptabilité interne dudit parti.