« Le premier à parler, après Bismarck, ce fut l'Anglais, Sir Edward Malet. Il évoqua le bien-être des indigènes, vanta le libre-échange mais parla de le contrôler, puis déclara d'un même élan l'Angleterre favorable à la liberté du commerce dans le bassin du Congo : on s'y attendait. C'est que là-bas, au Congo, l'Angleterre n'a rien, pas un pet de terre, il lui serait donc avantageux de pouvoir y commercer librement ; on est rarement protectionniste chez les autres. » Le "Congo" de Eric Vuillard est l'une de (...)
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