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En novembre 2013 , la manufacture de piano Pleyel mettait la clef sous la porte. La fin de 300 ans d’activité pour le mythique fabricant de piano.
Avec cette fermeture c’est tout un savoir faire qui disparaît. La construction d’un piano Pleyel nécessitait 5 000 pièces, entre 500 et 1 500 heures de travail, regroupant 20 métiers différents (luthiers, ébénistes, vernisseurs, laqueurs…).
L’entreprise avait déjà fermé son usine d’Ales en 2007 et n’avait gardé que 14 salariés à Saint Denis près de Paris. Un restructuration qui n’a pas permis de sauver l’activité.
Cette fermeture est aussi un nouveau symbole de la désindustrialisation qui touche l’hexagone.
A La Porte à Côté on a voulu comprendre les raisons qui ont provoqué la chute de ce fleuron de l’artisanat français.
« Pleyel Requiem » C’est pour vous, c’est La Porte à Côté… Il ne vous reste qu’à cliquer.
Présentation: Martin Bodréro
Reportage: Manon Ribat