Coopération bilatérale

Depuis le lundi 03/03/2014, le Roi Mohamed VI du Maroc, effectue une visite officielle, en Guinée, dans le cadre d’une vaste tournée entamée, par le souverain Chérifien, sur le continent, laquelle l’aurait menée, dans différents pays, notamment le Mali, et la Côte d’ivoire, avant d’arriver à Conakry, la capitale Guinéenne, d’où il doit repartir ce jour, 05/03/2014, en direction du Gabon, nous apprend t-on.

Une visite attendue de longue date et qui vient imprimer, une dynamique nouvelle, aux traditionnelles et chaleureuses relations, que le Maroc a toujours entretenu, avec la Guinée, depuis les premières heures de l’accession de celle-ci à la souveraineté et quoi que, le Maroc a toujours brillé, auprès des différents gouvernements Guinéens, qui se sont succédés aux commandes du pays, du reflet de son assistance qu’il n’a eu de cesse de leur apporter, quelque soient les circonstances et les difficultés en vues.

Ceci dit, cette visite du Roi du Maroc, quoi que, séculaire, vient redonner un nouveau souffle et une nouvelle propension, aux relations entre les deux pays, puis que, le niveau de développement technologique du Maroc, son expansion économique et sa capacité d’investissement, dans des secteurs, que seule, la coopération bilatérale, sud-sud, pourrait extirper des vestiges, des élucubrations entrainées par une gestion calamiteuse, des programmes de réajustement structurels, notamment dans leur volet, consacré à la privatisation et aux désengagements progressifs de l’état des secteurs productifs.

Par delà, ces aspects suffisamment à l’appoint d’une vue, panoramique des relations entre les deux pays, d’une part et de l’autre, la coopération sud-sud, le Maroc offre sans ambage, une multitude de perspectives aussi bien, techniques, que financières, dans la relance et la promotion du développement économique, à une échelle considérable, du moment, que ce pays, peut être vu, à la fois à cheval entre l’Afrique et l’Europe, mais aussi et surtout, comme une courroie de transmission dans le transfert des technologiques, ainsi que l’optimisation concertée du cadre de formation, des cadres au profit des secteurs, dont le besoin est largement disproportionnelle, à la capacité financière du pays à résorber les difficultés qui s’y accolent.

Par ailleurs, il ne saurait nous échapper, le cadre d’évolution des relations entre le Maroc et la Guinée, pour mieux nous enquérir, de l’impact escompté, en sachant que le royaume, aura eu, à cotoyer de près ou de loin, tous les gouvernements qui se sont succédés au perchoir, à Conakry, depuis l’indépendance, et cela, à tous point de vue, au point qu’il revient aux

Marocains, la possibilité de pouvoir engranger, logiquement une nouvelle plate forme et socle, des relations entre les deux pays, de sorte à annihiler les effets négatifs, résultant du constat qui se dégage de l’évolution de son cadre historique(les relations entre les deux pays).