En levant un coin de voile sur ce projet régional et transfrontalier qui concerne le Bénin, le Niger et le Burkina Faso, il a précisé que le projet est "très important pour les populations". Intitulé "Eau pour la croissance et la réduction de la pauvreté dans le sous-bassin transfrontalier de la Mékrou", le projet a été initié par le Partenariat mondial de l’eau (GWP) et soutenu financièrement par l’Union européenne. Il vise essentiellement à améliorer les connaissances en matière de ressources en eau. Car, soutient-il, "si on a une meilleure connaissance des ressources en eau, on peut prévenir les catastrophes et risques et permettre aux populations de se préparer".
Ainsi, avec ce projet, des informations utiles seront fournies aux populations surtout aux agriculteurs pour faciliter une bonne planification des saisons. De même, le projet permettra aux communes d’intégrer l’eau dans les documents de planification notamment les Plans de développement locaux.
Soutenant qu’il est important de maîtriser la ressource eau afin de mieux la gérer, il a souligné tout le bien qu’apportera ce projet aux communautés en matière de réduction de la pauvreté.
Après cette phase d’information et le lancement du projet qui se fera à Ouagadougou, suivront dans chaque pays, des ateliers d’information des populations et de toutes les parties prenantes. Un processus qui conduira, au terme de la première année de mise en œuvre, à la signature d’une convention pour la promotion d’une gestion intégrée et synchronisée du sous-bassin transfrontalier.
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