Rien n'est plus difficile que le processus de contrôle de qualité , encore moins que le contrôle visuel . Plus le problème est complexe, plus cela prend du temps pour voir tout ce qui cloche, qu'il s'agisse de détails, d'objets ou d’étendues de toutes sortes.
D'abord, on voit un tas de choses, après cela prend beaucoup plus de temps pour en découvrir d'avantage et très vite on franchi le seuil des rendements décroissants . Donc c'est bien ça, il faut du temps , de la répétition , une organisation régimentée pour survivre et peut-être briller à ce petit jeu dément.
S'il y a une chose qu'on apprend c'est que les raccourcis n'existent pas, mais que seul un engagement obstiné et presque robotique permet de triompher en appliquant les quelques principes énumérés ci-avant.