Imaginez le réveil brutal qui commence par une belle migraine (combien j'ai bu de coupes déjà ?) et qui se confirme au moment où je me dirige dans la cuisine pour boire mon litre d'eau (classique) en passant par le salon et autres.
Là, vous vous dites que la journée va être longue. Très longue.Un bon dimanche comme on ne les aime pas du tout.
Sauf que j'ai oublié de vous dire que mes parents venaient pour l'apéro quelques heures plus tard.Si si c'est vrai.
Aérer, passer l'aspi, la serpillère, faire la vaisselle, descendre les 1000 bouteilles vides à la poubelle, remettre les meubles à leur place, se remettre de sa gueule de bois pour reboire le soir, ETC.
C'est là qu'on s'assoie, qu'on respire un bon coup...et qu'on pleure.
Oui mais non.Je venais de réaliser que je n'avais pas encore ouvert mon nouveau joujou, mon nouveau Dyson de la mort qui tue.
Le seul problème ?
Déballer chaque pièce et les assembler comme il se doit.
A priori une mission simple.
Sauf qu'on se rappelle que j'ai la gueule de bois, la migraine et tutti quanti.
Mais bon, heureusement pour moi, ce fut largement plus facile que de monter un meuble Ikea.
Après seulement quelques échecs, la bête prend vie.
Oui la bête. Belle bête d'ailleurs, qu'on aurait presque envie d'exposer fièrement dans son salon.
Une petite merveille qui m'a sauvé l'étape "passer l'aspi".
Pourquoi ?
Parce qu'avec cet aspi de l'espace, pas besoin de se pencher (et croyez moi après avoir enflammé le dance floor toute la nuit), ce petit détail fait toute la différence.
Parce qu'il m'a épargné le coup de se prendre les pieds dans le fil et de refaire des tours pour se désemmêler, il est sans fil.
Parce qu'il m'a évité de passer 10 fois sur la même zone, oui, il est redoutablement puissant.
Voilà comment Dyson a sauvé ma vie, ou du moins, le pire dimanche de l'année.
Moi je vous le dis, Dyson ce n'est vraiment pas du bullshit marketing.
Vraiment vraiment pas.
C'est décidé, ce sera Dyson à vie sinon rien.