The Crazy Ones // Saison 1. Episode 16. Zach Mitzvah.
Il y avait quelque chose d’assez amusant dans cet épisode mine de rien. Ce n’était pas parfait mais il y avait suffisamment de bons moments pour que l’on finisse par apprécier le spectacle.
Notamment quand on retrouve James Wolf en train de chanter des chansons de Chicago ou bien que Cheryl Hines (Subergatory) devient l’une des
meilleures guests que j’ai pu voir dans cette série. Ce n’est pourtant pas quelque chose à quoi je m’attendais pas le résultat est bel et bien là. « Zach Mitzvah »
réunissait tous les ingrédients pour avoir un épisode réussi. En effet, une Bar Mitzvah, un client un peu farfelu, une soirée qui tourne mal, etc. Tout était fait pour que cela soit drôle. Le
résultat est là et j’ai donc passé un agréable moment. Je pense que le problème de The Crazy Ones c’est de ne pas savoir parler au plus grand nombre. Elle mélange pas mal de
choses dans cet épisode et je pense que son non-succès est dû justement à ces problèmes là. Comme l’aspect familial. On sent qu’il y a un truc qui se développe à chaque épisode de ce point de vue
là mais le scénario ne sait pas l’embellir comme il se doit car The Crazy Ones est engoncée dans tout un tas d’autres choses.
A commencer par le côté comédie de bureau. C’est certainement l’aspect le plus visible de The Crazy Ones. Mais ce n’est pas forcément ce qui lui réussi le plus. Cette semaine
notamment. Je n’ai pas vu une comédie de bureau mais une vraie comédie avec une sorte de bande d’amis qui tentent de sauver leur mise dans une affaire avec en l’occurrence ici… un client. Mais
cette cliente (puisque c’est le personnage de Cheryl Hines) n’est pas une cliente typique. Au contraire, elle est assez différente de ce que l’on a l’habitude de voir dans la
comédie. C’était plus lumineux, plus énergique, plus drôle. Je n’ai donc point boudé mon plaisir. Mais le problème c’est que The Crazy Ones n’est pas totalement intéressante non
plus. La série a aussi encore des défauts. Notamment quand il s’agit d’utiliser Simon. Robin Williams est un électron libre que l’histoire ne semble pas savoir où mettre,
contrairement à Sarah Michelle Gellar par exemple. Cette dernière est vraiment à sa place, surtout quand il ne sait pas comment gérer une situation qui, plus ou moins à cause
d’elle, a dégénéré.
Note : 7/10. En bref, du bon The Crazy Ones.