Un simple statut sur Facebook peut parfois faire des ravages, mais c’est la première fois que quelques mots tapés sur Facebook font perdre 80.000 dollars.
David Snay, un Américain de 69 ans, était parvenu à obtenir 80.000 dollars (soit environ 57.000 euros) de dommages et intérêts de la part de sa société suite à un licenciement abusif.
Un accord qui devait rester secret
Au terme du procès, les juges ont ordonné que son ancien employeur lui verse 80 000 dollars de dommages et intérêts. Une seule condition au versement de la somme : l’accord devait rester secret.
Pour être valable, l’accord devait rester confidentiel, mais sa fille, Dana Snay, n’a pas pu s’empêcher de publier:
« Maman et papa Snay ont gagné. C’est officiel, Gulliver [l'ancien employeur] paye mes vacances en Europe cet été. »
Confidentialité rompue
Problème, la jeune fille compte plus de 1.200 amis sur son compte et c’est donc tout naturellement que le secret a fini par s’ébruiter.
L’école a finalement réussi à faire annuler les dommages et intérêts que Patrick Snay aurait dû toucher s’il n’aurait pas rompu l’accord de confidentialité.
Dommage pour Dana qui doit ranger son maillot de bain pour encore longtemps.
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