Chronique : Fate/Zéro Tome 1

Les éditions Ototo viennent de publier le premier tome du manga Fate/Zéro de Shinjirô et Gen Urobuchi.

Le scénario débute dans le château d’Einzbern dans lequel nous apprenons les bases de l’histoire. Depuis mille ans, les Einzbern cherchent le Saint Graal, mais n’y arrivant pas seuls, ils ont se sont associés il y a deux cents ans aux familles Makiri et Tôsaka.

Une collaboration qui a vite tourné à une guerre sans merci afin de garder ce précieux récipient magique pour soi. Un combat qui a lieu tous les soixante ans lorsque le calice réapparait.

Celui-ci désigne sept mages assez dignes pour se l’approprier, ils leur donnent également le pouvoir d’invoquer des esprits héroïques appelés servants.

Et cette nouvelle guerre sainte débute avec ce premier tome. Bien décidé à gagner celle-ci, les Einzbern ont engagé Emiya Kiritsugu alias le tueur de Mages.

Au fil des pages, ont fait connaissance ici avec ce personnage et son servant, mais nous découvrons aussi d’autres élus comme Kirei Kotomine, membre de la sainte église ou encore Tohsaka.

Ce premier tome pose bien les bases en nous faisant entrer dans l’univers qui n’est pas si complexe qu’il en a l’air. Le décompte des heures, présent tout au long de l’histoire, s’arrête à 154 heures, ce qui nous permet d’imaginer encore de nombreux rebondissements et de nombreux combats dont l’un se profil dans les dernières pages.

Le scénario est bien développé et clair et les personnages ont vraiment un caractère bien défini. On est donc rapidement pris dans l’intrigue et on attend désormais la suite, prévue pour avril, avec impatience.

Fate/Zéro Tome 1 de Shinjirô et Gen Urobuchi, Editions Ototo, 200 pages, 7,99€.