- Lire la page Wikipedia sur le sinistre baron de Coubertin, notamment la section intitulée Au-delà de l’olympisme, un réactionnaire.
- Noter une citation du baron qui a au moins le mérite de confirmer (pour qui en douterait) que le sport et la guerre sont frère et sœur :
« Le jeune sportsman se sent évidemment mieux préparé à partir à la guerre que ne le furent ses aînés et quand on est préparé à quelque chose, on le fait plus volontiers » .
- Encadrer l’excellent papier sur les Jeux de Vincent Remy intitulé Le Silence des anneaux dans Télérama n° 3346), page 15 :
« Le CIO n’avait pas bronché devant le scandale environnemental (forêts dévastées, rivières polluées, montagnes de neige artificielle), social (habitants malmenés et expulsés sans indemnisation), sécuritaire (100 000 policiers, missiles sol-air, navires de guerre). Ne soyons pas injuste avec le CIO : côté médias, le boulot a également été impeccable. Extase générale devant les médailles tricolores. Et saillies néandertaliennes des commentateurs de France Télévisions sur les postérieurs et les poitrines des sportives : on en avait pour sa redevance ! D’ailleurs, des records d’audience ont été battus. Il y a des jours d’hiver où l’on se dit que le réchauffement climatique pourrait avoir du bon : d’ici vingt ou trente ans, ne plus avoir à subir ce barnum. »
- S’inquiéter d’un article de la presse quotidienne régionale vantant les mérites du « sport sur ordonnance » .
Bientôt le sport sur ordres ? À mon avis, on n’en est pas loin. C’est déjà le cas à l’école. Grâce à qui ? Au baron, encore lui !
- Penser sérieusement à changer de banque parce que la mienne m'a collé les anneaux olympiques en logo sur ma carte Visa.
Extraits de mes autres textes contre le sport :
Ici
Et là