En ce lendemain de fête des grands-mères je remercie mes bâtons de vieillesse : mes enfants et petits enfants. Même si je n'ai pas besoin qu'ils me prennent le bras pour me faire traverser la rue, il m'arrive de m'accrocher à eux. Souvent par la pensée d'ailleurs. Le simple fait de savoir qu'ils sont là, toujours prêts à me soutenir d'un mot, d'un sourire suffit à m'aider à surmonter petits soucis ou grosses difficultés. Merci à eux. Je le pense bien souvent même si je ne le dis pas… C'était l'occasion ou jamais, non ?