D'abord s'occuper de l'emploi et de la réduction des inégalités, s'appuyant sur le manifeste des socialistes européens qui parle d'une « Nouvelle Europe » à la place de l'actuelle « Europe de la peur et de l'austérité »
M. Schultz a une bonne presse : Social démocrate, non sectaire, autodidacte, mais habile et dur, il a une réelle chance d'être élu...si les chefs d’État ne s'affolent pas d'avoir face à eux un président de la Commission moins « souple » que ne l'a été M. Barroso.
La suite après les élections européennes, qu'il ne faut pas oublier ni négliger. L'enjeu est de premier ordre.
©Jorge