Nouvelle ineptie dans la campagne décidément catastrophique de NKM : elle s'autorise à "destituer" sa candidate dans le 2ème arrondissement parce qu'elle a voulu choisir un second de liste qui ne lui convient pas : Aurélien Véron, président du Parti libéral-démocrate. Au passage, l'"entourage" de NKM distribue comme à l'accoutumée les qualificatifs vipérins : Delsol serait homophobe, Véron quasiment proche de l'extrême droite (!), tous ces gens là seraient des catholiques intégristes confondant paroisse et arrondissement. Après les dérapages sur les "dissidents Cotorep, aigris et manipulés", voilà un nouveau témoignage des mauvaises habitudes d'injures et de dénigrement d'une candidate aux abois et de ses sbires. En réalité, NKM n'a aucunement le droit de destituer qui que ce soit, sa tête de liste ayant été désignée par une commission d'investiture. Mais, à nouveau, le respect du droit et des militants est le cadet de ses soucis. C'est plutôt la question du maintien de NKM comme tête de liste de l'UMP dans Paris qui devrait se poser au regard de l'accumulation ahurissante de bévues de sa campagne, véritable bénédiction pour Hidalgo.