Pour moi, c'est une planche de plus de 100 mm sous le patin. Le « plateau » sur lequel on évolue marche peut-être dans la pouf de cinéma, chose qui se produit 10% du temps, et je suis très généreux, mais si vous êtes coincé avec ces planches sur de la neige damée, ça va vous prendre une bonne semaine pour changer de carres.
Le rêve de ma vie en tant que skieur est de réduire mon matos à une paire capable de tout faire, et il me semble qu'entre 80 et 95 mm sous le patin est là où se situe la réponse ; au-delà, je ne suis plus dans la course, surtout dans ma nouvelle maison où je n'aurai droit qu'à deux casiers sur le râtelier au lieu des cinq qui me sont réservés aujourd'hui. C'est aussi simple que ça !