Edition du 25 février 2014
Hier, une opération de maintenance informatique qui s'est mal débouclée a empêché pendant une bonne partie de la journée européenne d'accéder au site Internet du quotidien uruguayen El País, qui rendait pourtant hommage, comme tous ses confrères, à Carlos Páez Vilaró, disparu lundi matin.Une fois la disponibilité de la ligne rétablie, je reproduis ici les deux une, celle d'hier et celle d'aujourd'hui, que le titre a consacrées au peintre-musicien-poète dont les obsèques se sont tenues hier en fin de matinée à Montevideo.
Aujourd'hui, El País publie un article qui s'ouvre sur les les dernières phrases de la Cérémonie du Soleil, Chau Sol... (voir mon article d'hier) et raconte les circonstances de sa mort, qui s'est produit à huit heures du matin pendant sa conversation avec son médecin, et non pas après comme on le disait hier. Une vidéo intégrée à l'article rassemble les déclarations des uns et des autres et les temps forts de la cérémonie d'adieu national qui s'est terminée dans la Salle des Pas perdus du Palais législatif où le disparu a reçu les honneurs officiels.
Edition du 26 février 2014