La pipelette n’est plus celle qu’on croit

Le  secret bien gardé, une affaire de sexe

Sans pour autant être misogyne dans le genre, le stéréotype connu de tous et d’ailleurs bien ancré dans la mentalité des peuples est qu’il vaut mieux choisir son confident chez la gent masculine car censée ne jamais dévoiler vos secrets et même les plus intimes.

Le commérage change d’orientation

Depuis toujours, la femme est réputée être commère de nature et se confier à elle est un acte insensé par définition. C’est pour cela qu’homme ou femme ont tendance à dévoiler leurs secrets de préférence à un homme.

Comme cet adage relève de l’habitude et de certains stéréotypes plus qu’autre chose, une étude élaborée par des britanniques est venue casser les préjugés et prouver scientifiquement que les commérages ont changé de place  et deviennent l’apanage du sexe dit fort à savoir les hommes.

Les hommes, rois du commérage !

Selon l’étude en question, il est vrai que les hommes sont majoritairement bons pour garder un secret mais est-ce qu’ils le garderaient pour longtemps. C’est la question élucidée par cette étude affirmant qu’un homme ne peut garder un secret plus de 2h47 alors qu’une femme tient le coup pendant 3h30.

Reste à savoir quelles sont les causes d l’expansion du commérage masculin ? Selon l’enquête du Daily Mail, les raisons dont nombreuses et explicables :

1)   Les hommes ont plus de chance que les femmes d’accéder à des positions où l’information est pertinente et à ce titre, si la femme atteint ce stade, elle atteindrait le niveau de commérage de l’homme

2)   Les réseaux sociaux : Les hommes sont moins discrets car ils n’ont plus besoin de se rencontrer pour papoter des derniers ragots mais les réseaux sociaux sont là pour leur faciliter la tâche.

3)   Il faut savoir que le secret est invariable et ce sont ces objets qui ont tendance à changer. A ce titre tout ce qui dynamise le secret est lié à sa forme, les relations, les risques qui incombent à sa divulgation ce qui implique qu’il existe des variations quant à définir les objets acceptables du secret.

Le plaisir de la divulgation, une affaire de genre

La divulgation d’un secret est considérée par le détenteur de l’information comme une sorte de distinction. En effet, le détenteur va passer du stade passif de récepteur  qui a quand même sa distinction à celui d’acteur c’est-à-dire celui qui est en droit de divulguer cette information. Il va donc céder la loyauté pour s’approprier le secret et se donner le droit de le divulguer.

Pour conclure, l’étude du Daily mail prouve donc que le secret se définit comme une pratique sociale et il suffit que les femmes arrivent à occuper se genre de positions pour que les pratiques de secret ne varient plus selon le sexe.

Source : atlantico.fr

Commentez les buzzs

commentaires