Magazine Société
Le temps du racolage est venu, celui des appels sous bois pour des amours furtifs de premier tour. C’est la
rançon d e ceux qui n’ont pas rassemblé ! Je vous le dis comme cela, directement, sans détours, la réaction de Michel Carré ! Le Parti Socialiste de Patrice Bédouret en héritier et
lançant le chalut pour draguer le fonds des temps premiers de l’écologie amitiés et des combats menés auxquels il n’a jamais marqué la moindre empathie ou intérêt…
Dans le versant opposé de l’écologie locale il rappelle le soutien apporté à Laurence Abeille lors des
législatives… soutien certes mais soutien tardif au seul deuxième tour. Le Parti Socialiste et Patrice Bedouret avaient mangés la consigne nationale de l’accord en observant un lourd silence,
en mettant en œuvre une inertie généralisée au premier tour alors que deux élus socialistes ( déjà pointés d’un index rageur ) se rangeaient selon les vœux de leur parti auprès de la candidate
en apparaissant au cœur de sa campagne.
Ces deux « félons » sont aujourd’hui avec EELV dans la liste menée par Jean-François
Voguet ! Il y a une cohérence.
Et si sur sa liste « ouverte » Patrice Bédouret annonce une poignée d’ex issus d’ EELV, du Front
de Gauche ( quelle composante ? ) et du Parti Communiste qu’est-ce au regard de celle de Fontenay pour Tous qui ne rassemble quand à elle aucun transfuge mais des membres bien réels et
actuels du PCF, du Parti de Gauche, de la GA, de la Fase, des Citoyens, du PRG et des Socialistes. Une liste d’union, une liste qui réunit l’ensemble de la gauche fontenaysienne sans avoir
recours à des artifices grossiers de propagande. J’ai eu l’honneur de porter la signature des Socialistes sur le document fédérateur de cette liste, de son programme. C’est un acte majeur qui
garantit pour notre ville une gestion où les citoyens seront a cœur de nos politiques pour l’avenir de Fontenay sans avoir à déléguer, à perdre nos compétences territoriales face à une hydre
administrative sous tutelle de l’appétit politique exorbitant, et c’est un secret de polichinelle, d’un Claude Bartolone et sous la tutelle d’experts en tout genre éloignés de toutes les
préoccupations des fontenaysiens et des franciliens.