En fin d'après-midi, je serai reçu par les conseillers justices et santé du président de l'Assemblée nationale, Claude Bartolone, pour parler de la future loi sur la fin de vie promise par le président de la République lors de sa campagne préisdentielle et de sa dernière conférence de presse en janvier.
Au nom de l'ADMD, qui réunit aujourd'hui plus de 53 000 adhérents, je rappellereai que nous ne voulons pas d'une loi Leonetti de gauche mais bien d'une loi qui met au centre des décisions celui ou celle qui meurt et pas les gens autour du lit...
La future loi doit reposer sur ses deux jambes, d'une part, l'accès aux soins palliatifs et, d'autre part, la légalisation de l'euthanasie et du suicide assisté.