Pilot
Saison 1, Episode 1
Diffusion vo: ABC – 26 février, NBC – 22 et 23 février 2014
Dans Mixology, on suit des futurs couples au cours d’une soirée, dans About a boy, un adulte grand enfant se lie avec le nouveau gamin de la voisine et dans Growing up Fisher, une famille avec un père aveugle doit s’adapter à la nouvelle donne post divorce…
Mixology :
Je ne saurais dire si c’est bon ou non, j’ai arrêté au milieu de l’épisode tant le pitch ne m’intéresse pas, le casting me laisse de marbre (hormsi Vanessa Lengies) et globalement, je m’en contrefous de voir comment ils vont tous conclure les uns avec les autres.
Il faut dire que ce n’est pas aidé non plus par le peu entrevu des personnages qui n’ont rien qui donne envie de s’attacher à eux. Ce sont juste 3 mecs à un bar qui se relaxent après une journée de boulot et la serveuse qui rame qui toute serveuse/Cendrillon de fiction. C’est juste inintéressant au possible.
Verdict : A éviter.
About a boy :
Jason Katims, père de Roswell et Parenthood entre autres (et de quelques beaux ratages aussi) s’essaye à la comédie avec ce mec grand enfant et la voisine qui débarque avec son gamin. J’ai au moins tenu jusqu’au bout de ce pilote. Mais ce n’est absolument pas pour moi dans le ton et dans l’histoire qui me parait déjà milles fois vues. En plus, on est face à une dramédie et non une comédie, ce qui rend le truc assez bizarre sous ce format. Au mieux, on peut sourire à quelques situations, même plus par politesse que par vériable plaisir. Mais le rire est, lui, absent.
Verdict : A essayer pour se faire son propre avis. Le plaisir de visionnage dépend vraiment de son affinité avec ce type de dramédie.
Growing up Fisher
C’est la comédie qui m’a le plus plu, car elle joue vraiment la carte de la comédie par le décalage avec ce père aveugle, centre de l’histoire. C’est drôle de le voir s’activer comme une personne normale, avec juste cette dose d’exagération qu’il faut. Et JK Simmons s’éclate dans le rôle et lui donne vraiment vie. Après, on reste quand même dans le cadre d’une dramédie et la fin de ce pilote m’a moins enthousiasmé que le début, en raison de ce ton « tout le monde aime tout le monde qui est tout beau et tout gentil et… oh un bisounours ! »
Verdict : Le pilote offre différents tons pour ratisser un large public et chacun peut y trouver son compte, que cela soit dans les bons sentiments ou dans l’humour décalé.