« Exit », donc, le Lubéron, Avignon et son festival, Châteauneuf-du-Pape et ses domaines, Saint-Rémy de Provence et ses charmes incontestés, Maussane-les-Alpilles et son bistrot adoré, Aix-en-Provence la plus « vivace » des cités du Grand Sud, et même Marseille la sinistrée, pas plus engageante (pardonnez du peu) qu'un requin affamé qu'une sardine affamée malgré sa « Bonne Mère » bienveillante, et bienvenue à une région affectionnée que nous avions quitté deux années plus tôt (Mars 2012), une région viscéralement marquée par la crise qui (commercialement) se « défigurerait » à vu d'œil, une région « sacrifiée, mais pas résignée » (si j'en juge par les nombreuses affichettes collées aux vitrines), une région beaucoup plus « indignée » que ce qu'il n'y paraît, la Riviera !
« Exit », donc, le Lubéron, Avignon et son festival, Chât...
Publié le 23 février 2014 par L'Instant Resto« Exit », donc, le Lubéron, Avignon et son festival, Châteauneuf-du-Pape et ses domaines, Saint-Rémy de Provence et ses charmes incontestés, Maussane-les-Alpilles et son bistrot adoré, Aix-en-Provence la plus « vivace » des cités du Grand Sud, et même Marseille la sinistrée, pas plus engageante (pardonnez du peu) qu'un requin affamé qu'une sardine affamée malgré sa « Bonne Mère » bienveillante, et bienvenue à une région affectionnée que nous avions quitté deux années plus tôt (Mars 2012), une région viscéralement marquée par la crise qui (commercialement) se « défigurerait » à vu d'œil, une région « sacrifiée, mais pas résignée » (si j'en juge par les nombreuses affichettes collées aux vitrines), une région beaucoup plus « indignée » que ce qu'il n'y paraît, la Riviera !