Moi, Emile Milliard : Une histoire qui risque de susciter un dégoût pour certains ou certaines ou bien un comportement intriguant

Par Dedicaces @Dedicaces

Décidément, le chroniqueur Yoan Sourisse a écrit une autre excellente critique au sujet du premier roman de Bernie Palmer, publié aux Éditions Dédicaces. Cette critique, qui porte le titre de : "Moi, Emile Milliard : Une histoire écrite tout récemment qui risque de susciter un dégoût pour certains ou certaines ou bien un comportement intriguant", vient tout juste d’être publiée sur le blogue roumain À propos de tout et de rien.

Ce blogue francophone possède un très haut niveau d’achalandage (PR4), il apporte donc une visibilité importante au livre de l’auteur. Voici un extrait de cet article :

Je viens de terminer de lire un drôle de roman, enfin si je peux dire roman. Le livre fait 80 pages environ, pourrait-on dire une nouvelle? Il s’agit de Moi, Emile Milliard écrit par Bernie Palmer, publié aux Éditions Dédicaces en 2012. Une histoire écrite tout récemment qui risque de susciter un dégoût pour certains ou certaines ou bien un comportement intriguant.

Histoire des temps modernes? Bernie Palmer a écrit une histoire qui a lieu en 2033 à Québec. Emile Milliard, le personnage de cette nouvelle, vit une vie qui, comme je le disais, peut déranger mais ne faut-il pas tout lire pour s’en donner une idée. En tout cas, en ce qui me concerne, j’ai trouvé ça très intriguant et finalement à l’image de notre époque.

Pour faire court, Emile Milliard est un homme qui voit la vie de façon assez déroutante. Ce dandy des temps à venir nous entraîne dans ses pérégrinations fantasmatiques qui sont sans doute bien les nôtres, en tout cas inavouables. Il rencontre des femmes de préférence riches, bien entendu, et se fait payer pour ses services sexuels: “(…). J’ai appris à répondre aux besoins et aux désirs de ma charmante clientèle composée de femmes aisées, libres et en manque de sexe (…)”. Et je dois dire que son côté “peur de rien” devrait être appliqué à plus d’un : “(…) Un jour, je finirai par donner des conférences. Je serais probablement capable de faire jouir une femme en lui soufflant quelques mots à l’oreille.(…)” ou encore “(…) c’est seulement un travail comme un autre. Il n’y a pas de quoi s’énerver le poil de la cervelle avec ça.”

Outre le fait qu’il décrit avec précision et de manière haletante ses ébats sexuels, le personnage entraîne son lecteur dans une compréhension finalement admise, le tout dans une écriture plus qu’appréciable et envoûtante.

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"Moi, Emile Milliard", par Bernie Palmer
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