Ce cybermilitantisme porte d'autres vocables : clicktivisme, slackertivisme, fauteuil révolutionnaire, bénévolat virtuel.
Le slacktivisme est souvent utilisé comme terme péjoratif (il avait à l'origine une connotation positive) pour distinguer ce militantisme virtuel de canapé par lequel l'internaute se donne une bonne conscience à rabais alors que les personnes physiques pratiquant l'activisme IRL s'impliquent dans des actions concrètes. Ce néo-militantisme est cependant considéré avoir eu une influence sur des événements comme l'affaire Kony 2012, Movember ou le Printemps arabe.