Selon ce que rapporte la Presse canadienne, James Flaherty croit quel'économie canadienne ne devrait pas trop souffrir de la crise dumarché immobilier américain bien qu'elle ait actuellement un « effetpsychologique ».
Il a toutefois reconnu, en conférence devant l'Economic Clubde Toronto, que les Canadiens payaient actuellement le prix de lahausse des tarifs reliés à l'énergie et aux aliments. La vigueur de ladevise canadienne protégerait toutefois l'économie contre les pressionsinflationnistes ambiantes.
Voir l'article : 10 raisons de croire à la sortie de la crise des crédits immobiliers