Comme, il en a pris sobrement l’habitude, de se défouler, à l’aide d’un style, dont seul, lui paraît détenir les tentacules manifestes, tout en se munissant d’arguments, qui suscitent débats, controverses, et zizanie, autant qu’ils embastillent, le leader de l’UPG, remonte à la surface, et déballe son méaculpa, à travers, l’écho des derniers dénouements, autour de l’échec, de la désignation de la candidature unique de l’opposition, pour la présidence de l’assemblée nationale, laquelle, candidature, bien qu’elle soit finalement revenue à une femme désignée par l’UFDG, n’a pu permettre à l’opposition, de s’emparer du contrôle de la présidence du perchoir. Ce qui laisse, bien évidemment, se traduire, par un combat de nouveau perdu, par l’opposition, après avoir perdu la majorité parlementaire, en ce sens, où l’opposition avait initialement, misée sur une perspective, celle qui consistait à remodeler les rapports de force, décrisper le travail parlementaire, et réduire sensiblement, l’emprise de la mouvance présidentielle, sur une institution à laquelle, revient un rôle de premier plan, dans la consolidation de l’oeuvre de démocratisation, entamée, de surcroît, une perspective augurée, motivée et mise en branle, reconnaissons-le par des données aussi bien factuelles, que rendant les initiatives promptes à méner, sur l’espoir escompté.
A ceci près, et pour peu ou proue, qu’on en vient, à se faire, une idylle stigmate, flétrissure même, des révélations à tout bout de champs, qui nous mettent, devant des faits déjà accomplis, on finit par admettre que les leçons à tirer, des grands joutes et tournants décisifs, du processus d’évolution, en tous genres, de la Guinée, sont enfouies, voir inhumées même, dans les déastres et effractions, causés par les apartés faits, dans le seul but, de se substituer à une logique de gestion collective, sur fond de concertation, des difficultés, tout au moins, pour toute adhésion supposée volontaire à un idéal partagé, au profit d’un regain d’intérêts, pour des désseins inavoués, voir même aux antipodes de la logique requise, de l’objectif recherché, et quoi que, dans ce cas de figure, il faille par extension se plier, aux exigences faisant d’une nécessité absolue, à tout parti, de songer à un seuil de représentativité, au sein de l’hémicycle, proportionnel à son implantation territoriale et sa force de cooptation des forces du progrès, même s’il paraît d’un constat abrupt et d’une culture politique, actuellement en verve, de surcroît, trop axée sur la typologie des ethnies, en Guinée, font grincer les dents, non pas des affidés de tels systèmes et régimes politiques, mais pour tout observateur, ayant la Guinée dans le coeur et dans l’âme, se prévalant de bonnes résolutions, notamment celles pérennes, et assorties d’une démarche concrètement vouée, à réhausser le niveau de vie, des Guinéens, optimiser la gestion des ressources, ansi que contribuer efficacement, à l’émergence des grands équilibres, attributs essentiels, à l’édification d’une nation moderne…
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