Les larmes de Tarzan de Katarina Mazetti

Par Charonbellis @charonbellis

Oui, j’ai encore craqué pour un Katarina Mazetti. Après celui là, c’est promis, on parlera d’autres bouquins.

Encore une fois, la dame nous embarque dans une histoire d’amour improbable.

Les larmes de Tarzan, c’est tout simplement l’histoire de la rencontre plutôt fracassante entre Marina, mais il la surnommera Tarzan, et Janne.
C’est une fois de plus le choc de deux mondes totalement différents : elle, c’est une mère célibataire de deux enfants qui rêve encore sur leur père (perché et) évanoui dans la nature, et qui jongle autant qu’elle peut pour faire vivre sa petite famille. Lui, c’est tout l’inverse : il est beau, il est riche, il est célibataire, les filles à son bras sont toujours des "sur-femmes" et il n’aime pas les gosses.
Alors oui, quand ils se tombent dessus, c’est le choc des cultures, ça fait des étincelles…. Mais c’est aussi la marque de Katarina Mazetti : on prend deux mondes différents, on les met dans la même boîte, on n’a plus qu’à lire le résultat. Tout y passe : barrières sociales, inégalités… Mais il me semble que c’est ce qui fait le charme du roman !

La quatrième de couverture : Elle, c’est Mariana, mais leur rencontre fut assez fracassante pour qu’il la surnomme Tarzan. Lui, il s’appelle Janne, pour de vrai. Mère célibataire, elle élève seule deux enfants, caresse le souvenir de leur fantasque père évaporé dans la nature et tente de nourrir sa petite famille malgré des fins de mois asphyxiantes. Lui, il roule en Lamborghini, papillonne sans s’engager avec de jeunes femmes forcément cadres, élégantes et dynamiques, et déteste que des marmots salissent les sièges en cuir de sa voiture de sport. Ces deux-là peuvent-ils s’aimer ? Et si, malgré l’abîme qui les sépare, ils s’attachent l’un à l’autre, sauront-ils vivre une relation décomplexée qui fera fi des conventions et des barrières sociales ?

Réponse en le lisant !