Alors alors, je ne vais pas y aller par quatre chemins, en ce moment, tu auras sans doute remarqué, je ne publie pas grand chose côté chroniques. Il y a sans doute plein de jolies choses qui sortent (d'ailleurs j'ai quelques albums à propos desquels je m'étais promis de rédiger un billet qui sont en souffrance sur mon bureau) mais c'est comme ça, les mots ne viennent pas avec aisance alors j'attends. Que l'envie et la facilité reviennent. Parce que s'il est un principe que je me suis fixé ici c'est que la rédaction de ce blog doit toujours rester un plaisir. C'est aussi un peu pour ça que j'ai refusé toutes les collaborations qu'on m'a gentiment proposées, histoire de n'avoir personne qui me colle un petit coup de pression quand je fais ma dilettante, version publications-qui-se-font-rares.
Et donc je reçois quelques messages gentils, toujours, pour me demander, pendant ces périodes de creux, si ça va (sympa, ça me touche toujours autant, vraiment) et ensuite ce que j'écoute en ce moment.
Oui, voilà, tiens justement j'ai bien envie de raconter ce que j'écoute en ce moment.
Alors il y a d'abord le tout frais, tout neuf Beck, que j'ai découvert très récemment, avec 24h de retard sur tout le monde mais avec une joie qui n'en a pas été altérée une seconde. C'est par ici que ça se passe si toi aussi tu es à la bourre. Tu verras, ça vaut le détour. Parfait accompagnement de n'importe quelle activité du quotidien. Je ne regrette pas.
Mais sinon, je fais dans la monomanie (c'est un peu ma spécialité, ça ne dure jamais très longtemps mais j'écoute souvent des trucs en boucle, pour une raison qui m'échappe).
Et en ce moment, tadaaaaa (même moi ça me surprend alors j'imagine que ça fera son petit effet), c'est ça :
Un medley de titres des années 50 à 70, avec de Elvis mais aussi du Roy Prbison et des tas d'autres artistes, plus ou
moins connus. Ne me demande pas pourquoi : je suis accor, point à la ligne.
Du coup je partage, avec enthousiasme, en espérant que ce soit un peu contagieux...
Je reviens vite par ici pour parler un peu de "La pornographie des âmes" de Dave St-Pierre, qui a été présenté au théâtre de la Ville la semaine dernière.