Aujourd’hui même, l’auteur et journaliste Denis-Martin Chabot a obtenu une très belle critique pour son deuxième tome de la série "Histoires de village", publié aux Éditions Dédicaces. Cette critique a été diffusée sur le blogue Cosy Home, en France : "Pénitence, le deuxième tome « Histoires du village »". Ce blogue francophone possède un très haut niveau d’achalandage (PR2). Il apporte donc une visibilité importante au livre de l’auteur. Voici un extrait de l’article :
Je vous avais parlé du livre Manigances de Denis-Martin Chabot, le premier tome de la collection Histoires du Village. Aujourd’hui, j’ai décidé de vous parler du deuxième tome Pénitence sorti en 2004. Je pense que vous avez certainement eu le temps de lire Manigances où si ce n’est pas encore fait, je vous invite à le lire, je vous redirige donc vers mon précédent article. Denis-Martin Chabot nous transporte une nouvelle fois dans un univers triplé de réalisme, de douleurs et des métaphores des plus étonnants mais tellement appréciables et agréables à lire.
La réalité est bien malheureusement celle qui existait dans les années 90 (encore aujourd’hui, me direz-vous !, c’est-à-dire la propagation fluide et inexorable d’une ombre planant sur la communauté gay : le Sida. Denis-Martin Chabot a su mettre en toile de fond dans cette fiction un réalisme dans lequel ce meurtrier invisible provoque la terreur dans le village. Marc, Pierre, entre autres sont les personnages dont nous avons pu suivre leur parcours les plus intimes dans le 1er tome et nous les retrouvons dans Pénitence, 5 ans plus tard dans cette ville de Montréal. La réalité, c’est aussi celle du comportement des policiers face à la communauté, avec des résolutions bâclées de faits divers touchant les homosexuels par exemple. L’homophobie fait acte de présence dans son roman, il était impossible d’en faire l’impasse et heureusement d’ailleurs. D.-M. Chabot a justement intégré un personnage représentatif de cette forme d’homophobie, il s’agit de Jean-Jacques Côté appelé J.-J., le nouveau patron de Marc Saint-Jean avare de profit : « Il avait embauché Marc pour tâter le marché des investisseurs gais. Sa mentalité albertaine de prospecteur lui avait fait entrevoir qu’il y aurait peut-être de l’argent à faire avec les tapettes. »
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"Pénitence, Histoires du village", par Denis-Martin Chabot.
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