Pour les gens de peu, comme moi et peut-être vous, on imagine un secrétaire général de l’Élysée comme quelqu'un pour le moins soigneux, vu ce qui lui passe entre les mains. Et soucieux de l'histoire et de la bonne tenue de la gestion du pays.Et voilà que Monsieur Guéant, dont les archives de sa période dans ce poste, plutôt prestigieux et responsable, se sont fait la belle, fait savoir à qui les cherche qu'après la non élection de N. Sarkozy : « Je ne me suis donc pas trouvé en situation de gérer le suivi des archives de la présidence après l'élection présidentielle » D'accord, mais, et pendant ?Se sera la nique pour les historiens et pour la Justice, à défaut de l'être, pour les politiques, qui se débrouilleront autrement.A moins que le contenu desdits papiers fasse son apparition un de ces jours dans un « cloud » quelconque, moins officiel et moins historique et surtout moins visible pour des juges curieux assoiffés de vérité, va savoir pourquoi. La République survivra, mais le pauvre Monsieur Guéant, entre ses histoires de tableaux de (petit) maître vendus à (bon) prix et ses archives voyageuses, je ne sais pas vous, mais moins, je suis inquiet pour sa santé !© Jorge
Pour les gens de peu, comme moi et peut-être vous, on imagine un secrétaire général de l’Élysée comme quelqu'un pour le moins soigneux, vu ce qui lui passe entre les mains. Et soucieux de l'histoire et de la bonne tenue de la gestion du pays.Et voilà que Monsieur Guéant, dont les archives de sa période dans ce poste, plutôt prestigieux et responsable, se sont fait la belle, fait savoir à qui les cherche qu'après la non élection de N. Sarkozy : « Je ne me suis donc pas trouvé en situation de gérer le suivi des archives de la présidence après l'élection présidentielle » D'accord, mais, et pendant ?Se sera la nique pour les historiens et pour la Justice, à défaut de l'être, pour les politiques, qui se débrouilleront autrement.A moins que le contenu desdits papiers fasse son apparition un de ces jours dans un « cloud » quelconque, moins officiel et moins historique et surtout moins visible pour des juges curieux assoiffés de vérité, va savoir pourquoi. La République survivra, mais le pauvre Monsieur Guéant, entre ses histoires de tableaux de (petit) maître vendus à (bon) prix et ses archives voyageuses, je ne sais pas vous, mais moins, je suis inquiet pour sa santé !© Jorge