Vie brève, la mort infinie.
–
L’espoir tend ses rets d’oiseleur.
–
Anxieuse une étoile file,
Se hâte vers une autre nuit.
Désirs, astres inaccessibles.
–
Et l’ombre est noire, du bonheur.
Louis BRAUQUIER, in Hivernage © Je connais des îles lointaines, La table Ronde, 2000
Ce court poème de Louis Brauquier introduit la deuxième nouvelle du recueil de Jean-Claude GARRIGUES, La vie en crue, dont je vous ai parlé cette semaine.
D’autres textes et plein d’infos sur le poète et peintre marseillais ici.
Classé dans:Des Mots en Poésie Tagged: Louis Brauquier, Poésie