Patong Beach, le 9 février 2014
Courriel : [email protected]
Objet :
François Fillon, J'ACCUSE : « Candidature présidentielle, mépris de LA Vérité éternelle absolue et lâcheté intellectuelle ! » [SUITE, mais pas FIN !]
Monsieur François Fillon
Député
Assemblée nationale
126 rue de l’Université
75355 Paris 07 SP
[Envoi recommandé avec accusé de réception]
Monsieur,
Une fois de plus, je suis au regret de constater que, malgré votre intention publiquement affichée de briguer la présidence de la République en 2017, vous n’avez toujours pas eu jusqu’ici le courage intellectuel de répondre sur le fond à mon courrier antérieur, et en particulier à ma lettre du 5 février ayant pour objet, « Candidature présidentielle et mépris de LA Vérité éternelle absolue ! »
Elle était accompagnée de mon texte fondateur, Vérité éternelle absolue versus mensonges et lâcheté des élites du XXIe siècle, dont j’attends toujours la première argumentation contraire de l’une des quelques deux cents soi-disant élites de l’époque, faiseuses d’opinion, tous milieux confondus : médias de toutes tendances, politiciens de tous bords, prétendus intellectuels ou pseudo-philosophes, et associations moralisatrices à sens unique, dont les patronymes étaient portés à votre connaissance.
Sauf incohérence quelque part, vous avez en effet laissé le soin à votre équipe parlementaire de me faire savoir que vous aviez pris connaissance de mon message électronique, vous réservant ainsi de me répondre sur le fond à la saint Glinglin, comme les quelques deux cent élites mentionnées, ce qui est très pratique pour continuer à mentir et à tromper impunément une opinion naïve et crédule, finalement cocue et frustrée à chaque consultation électorale, comme en témoigne clairement l’élection de François Hollande.
Pour terminer, je souligne que vos éventuels concurrents déclarés à la primaire UMP en vue de la présidentielle 2017, à savoir Nicolas Sarkozy et Jean-François Copé, n’ont pas daigné davantage que vous me faire part de leurs objections contraires argumentées à un courrier semblable, pas plus qu’auparavant la gauche en général et François Hollande en particulier, dont les mensonges et les croyances au miracle d’alors sont devenus aujourd’hui évidents, mais on ne peut revoter...
Je m’en tiens-là dans l’attente de votre réponse argumentée, à défaut de quoi vous ne sauriez prétendre honnêtement briguer la présidence de la République, à mes yeux tout au moins, mais je vous remercie de votre attention et vous prie d’agréer, Monsieur, mes salutations philosophiques, laïques et républicaines – sauf éventuelle démonstration contraire de votre part, évidemment !