Est-ce que Sarko a laissé le choc pour son successeur, ou sommes-nous dans une remarquable continuité où la gauche considère qu’elle peut aller plus loin que la droite, dans une façon de tournant mitterandien, où les annonces extravagantes servent de ballon d’essai, ou est-ce qu’elle est préposée à l’utilisation de la situtation économique pour avancer certains pions que Sarko n’aurait pu avancer ?