On en a fait l'explication du redémarrage américain ces derniers temps. Sans trop chiffrer le coût des dégâts qui résultent de la production de ce gaz, notamment pour l'environnement.La France, jusqu'à présent, n'a pas lâché sur l'interdiction de la fragmentation hydraulique, technique utilisée principalement pour sa production, à l'origine des dommages les plus directs et des doutes quant au futur des zones fragmentées.Un rapport d'une unité de recherche de Sciences-Po, l'Institut du développement durable et des relations internationales (IDDRI), conclue à un effet très limité de l'exploitation du gaz de schiste sur l'économie US. (Lire le rapport ici. En anglais) qui n'est manifestement pas la bonne explication sur l’accélération économique américaine.Il ne manque pas en France -et plus encore à Bruxelles- de défenseurs, tout à fait intéressés, de cette exploitation qui tentent aussi de minimiser les effets de la technique de fragmentation hydraulique.A l'évidence, sauf pour leurs poches, ce n'est pas là que nous trouverons notre bonheur économique, loin s'en faut ! Mais en suivant leurs conseils, nous sommes certains d'aggraver l'état de notre environnement, de plus en plus fragile.©Jorge
On en a fait l'explication du redémarrage américain ces derniers temps. Sans trop chiffrer le coût des dégâts qui résultent de la production de ce gaz, notamment pour l'environnement.La France, jusqu'à présent, n'a pas lâché sur l'interdiction de la fragmentation hydraulique, technique utilisée principalement pour sa production, à l'origine des dommages les plus directs et des doutes quant au futur des zones fragmentées.Un rapport d'une unité de recherche de Sciences-Po, l'Institut du développement durable et des relations internationales (IDDRI), conclue à un effet très limité de l'exploitation du gaz de schiste sur l'économie US. (Lire le rapport ici. En anglais) qui n'est manifestement pas la bonne explication sur l’accélération économique américaine.Il ne manque pas en France -et plus encore à Bruxelles- de défenseurs, tout à fait intéressés, de cette exploitation qui tentent aussi de minimiser les effets de la technique de fragmentation hydraulique.A l'évidence, sauf pour leurs poches, ce n'est pas là que nous trouverons notre bonheur économique, loin s'en faut ! Mais en suivant leurs conseils, nous sommes certains d'aggraver l'état de notre environnement, de plus en plus fragile.©Jorge