Mes très magnanimes lecteurs apprécieront peut-être d'apprendre que Le Salon Littéraire, qu'anime l'écrivain Joseph Vebret, m'a convié à y tenir chronique.
La chose se produira donc tous les quinze jours, un vendredi sur deux, sous le titre de Chroniques moratoires.
Lesquelles chroniques j'inaugure aujourd'hui même avec un texte intitulé La bataille de Solferino et le temps du monde fini.
Pour y accéder : cliquer sur l'image