L’ennui aime se poser en cette existence où peu se produit,
Sans souffrance et sans davantage d’espérance,
Où le confort nuit tant aux essentielles envies,
L’ennui impose aux jours une nuit de lassitude,
Quand l’être ne s’éveille plus aux réalités de son cœur,
L’ennui retient l’amour,
Faut-il alors saisir le courage de le combattre,
De voir cette éclaircie en la vie,
Tel un sourire,
Telle amitié des plus sincères,
Telle confidence rendue en toute confiance,
Enfin aimer oui,
Et oublier ce fou,cet inconscient ennui,
Ennemi du plaisir de vivre.