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Un entretien avec Frédérick Houdaer

Par Jean-Jacques Nuel

« Un auteur de textes courts n’a presque rien, quelques rares revues, quelques rares éditeurs (Gros Textes, par exemple, qui publie Dejaeger), peu de possibilités de se produire sur une scène, il est le « mouton noir » : les poètes ne le reconnaissent pas des leurs (alors qu’il suffirait qu’il aille à la ligne en appuyant fréquemment sur la touche ENTER de son clavier !) et les prosateurs le regardent de haut en trouvant qu’il ne pisse pas assez loin. Et pourtant, c’est un genre auquel on doit de sacrées réussites : Sternberg, Topor… »

Frédérick Houdaer me consacre un entretien sur son blog, où nous abordons essentiellement mon activité d’éditeur à l’enseigne du Pont du Change. Mais l’auteur n’est pas loin…

« Un auteur de textes courts n’a presque rien, quelques rares revues, quelques rares éditeurs (Gros Textes, par exemple, qui publie Dejaeger), peu de possibilités de se produire sur une scène, il est le « mouton noir » : les poètes ne le reconnaissent pas des leurs (alors qu’il suffirait qu’il aille à la ligne en appuyant fréquemment sur la touche ENTER de son clavier !) et les prosateurs le regardent de haut en trouvant qu’il ne pisse pas assez loin. Et pourtant, c’est un genre auquel on doit de sacrées réussites : Sternberg, Topor… »

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