Albert Camus, François Cavanna, Alain Finkelkraut comme bien d'autres intellectuels aujourd'hui reconnus expriment leur reconnaissance à l'égard d'un instituteur qui a exercé une influence bénéfique dans leur parcours scolaire, leur évolution intellectuelle et citoyenne, leur vie et leur réflexion sur l'avenir de notre pays, et les mutations qu'ont connu et connaissent la France et les français.
Français ou immigrés, ils témoignent de leur dette envers la République.
La chronique de Stéphane Rozès du 3 février est une photographie qui fournit une synthèse des plus pertinentes qu'il est possible de formuler aujourd'hui de l'état d'esprit d'une partie des français.