Photo Alliance française
Officiellement placée cette année sous le thème du sport, la jeunesse thaïlandaise y fut particulièrement à l’honneur, tant par les joutes et démonstrations très cordiales auxquelles ce patronage symbolique donna lieu que par l’affluence suscitée par les écoles et les universités du royaume, présentes en nombre parmi les stands des associations francophones et francophiles aux origines et intérêts les plus divers qui flanquaient les allées.L’un des objectifs fondateurs du Souvenir Français étant de transmettre la flamme des valeurs portées par notre armée auprès des jeunes générations, la plus ancienne association de France avait ainsi toute sa place dans cette belle manifestation de fraternité, sportive et culturelle. Le visage d’une France traditionnellement ouverte au monde et fière de son histoire qu’elle présenta au public correspondant au sentiment que nourrissent eux-mêmes les jeunes Thaïlandais pour leur nation, l’emplacement réservé pour le Souvenir français ne désemplit pas.
Après un discours remarqué où fut honoré le rôle historique et pérenne de la famille régnante pour la promotion de la francophonie dans le pays, l’ambassadeur de la République française en Thaïlande, monsieur Thierry Viteau, rendit, accompagné de son épouse, la visite rituelle de courtoisie aux exposants, toujours très appréciée. Notre ambassadeur s’entretint très amicalement avec monsieur Roger Abensour, délégué général du Souvenir Français pour la Thaïlande et représentant de la FACS pour la région, lui-même retraité de la carrière consulaire, pendant que madame l’ambassadrice nous exprimait son souci légitime pour la famille, en égard au bel ouvrage en faisant l’éloge pour la jeunesse, édité par l’association.
M. Thierry Viteau et M. Roger Abensour en chaleureuse discussion.
Mme l’ambassadrice, le charme et l’élégance de la tradition, et M. Éric Miné, délégué général adjoint pour la Thaïlande du S. F.
Un vif remerciement pour l’Alliance française de Bangkok, organisatrice de cette journée, à monsieur Christian Mérer, son directeur, et à madame Delphine Derniaux, attachée de coopération pour le français, qui ne se départit jamais de sa bonne humeur en dépit de la lourde tâche qui lui incombait.