Ainsi, je ne pense pas cette fois-ci, que je quitte définitivement Quito.
J'étais venu pour revoir des amis et collaborateurs de mon premier projet, et pour reprendre contact avec Lloa et l'école du rang San Luis. Même si je n'ai pu voir la majorité de mes anciens élèves, qui sont maintenant dispersés un peu partout dans la région et dans le pays, les rencontres que j'ai pu faire se sont avérées riches en émotions, et les nouveaux contacts noués à l'école pleins de promesses.
Difficile de demander mieux, surtout qu'avec les changements positifs que j'ai pu constater ici, et les moyens de communication qui sont plus développés qu'en 2004, j'ai bon espoir de reprendre contact avec plusieurs, même à distance, dans les prochaines années. Sinon, ce serait un plan idéal pour justifier un autre séjour ici.
Je quitte donc la casa de la Fundacion Chiriboga, un lieu où j'ai, depuis dix ans, toujours été accueillis chaleureusement (et confortablement, voir photo ci-haut, hehe).
Carmen, Virginia et moi.
Si je n'ai pas publié beaucoup de billets pendant ce projet, c'est essentiellement parce que mon temps d'écriture a été consacré à un projet de livre sur mes deux séjours à San Luis de Lloa en 2004 et 2014; projet de livre qui devrait également comprendre une bonne sélection de photos de ces deux passages dans cette communauté située près de Quito.En cette dernière journée à Quito, je remercie donc chaleureusement mes hôtesses de la Fundacion, Virginia et Carmen Mueses, de même que tous les membres de ma famille équatorienne, ainsi que les autres volontaires rencontrées pendant ce trop court séjour à Quito.
Hasta luego Quito, hasta luego Ecuador.