Parce que même en vacances, je n’oublie pas complètement le boulot, les patients…
Parce que aller d’un appartement à un autre, c’est un grand écart permanent…
C’est passer d’un joli bouquet de fleurs à un frigo quasi vide où trône la bière d’un fils alcoolique.
C’est prendre un café avec un biscuit ou affronter la violence verbale et/ou physique due(s) à l’alcool.
C’est avoir besoin de s’éloigner de tout çà mais aussi se demander comment je vais les retrouver…
Cet article Je voudrais bien faire le vide… a ete ecrit sur Le journal d'une mère... débordée !.