Ca y est, Artetvia nous ressert de la vieille soupe dans de vieilles outres.
Vous allez croire que je n’ai plus d’idées. Que nenni !
Je trouve simplement dommage que plusieurs articles, patiemment écrits par votre serviteur, n’aient pas eu, pour une raison ou pour une autre, le succès escompté – l’avantage d’internet est que tout se mesure – en particulier certains articles « de fond » (opposés aux articles « événementiel » qui, par essence, sont éphémères). Vous pouvez appeler ça comme vous voulez : le palmarès des bides, le hit des flops, le concile des fiascos, la bérézina d’Artetvia que sais-je encore.
Je vous propose donc de revisiter.
Le musée Cognacq-Jay : il faut dire que ce fut le sujet du premier article de ce blog. Le style est tâtonnant, l’audience pas au rendez-vous… Situé au cœur du Marais dans un hôtel particulier rempli de charmes et non de monde, j’y suis retourné depuis et c’est toujours aussi beau. Les expositions temporaires sont également intéressantes et variées (Dalou, l’art de l’éventail -là, j’avoue j’ai zappé, etc.). Pour en savoir plus, cliquez ici.
Le Logis de la Chabotterie, un petit château perdu au milieu de la campagne vendéenne, haut lieu de l’histoire de ce peuple de géants. Le cadre est magnifique et paisible, les animations culturelles qui y sont proposés sont de haute volée : replongez-vous au cœur du XVIIIème siècle en cliquant ici !
Enfin, je vous propose de réécouter une pièce de ce compositeur :
Il s’appelle Cristobal de Moralès. Vous trouvez cela beau ? Et bien, cliquez ici maintenant.
On trouve de belles choses au salon des refusés, n’est-ce pas ?