Les armes à dispersion peuvent contenir chacune jusqu’à 650 sous-munitions explosives. Souvent distraites, ces bestioles oublient d’exploser en touchant le sol se transformant ainsi en mines anti personnel, tueuses ou mutileuses de civils. Ces armes parce que peu fiables se retrouvent ainsi non conformes aux principes du droit international humanitaire : distinction entre combattants et non combattants et cause de maux superflus, etc…
C’est sur cette base que se battent nombre d’organisations rêvant de reproduire le traité d’Ottawa (1997) sur l’interdiction des mines anti personnel. Cela se fera peut-être à Oslo. Il faut pour cela un engagement des opinions publiques contre ce fléau.
A vous de faire, donc, en faisant par exemple tourner ce documentaire et en signant ici .