Coucou les zenfants! Je sais, lundi est de retour, vendredi, la Saint-Valentin se profile pour le malheur de toutes celles d’entre nous qui n’en ont rien à battre (moi la première), et cette semaine s’annonce pleine de pluie…et mortellement ennuyeuse.
Mais rassurez-vous, chers Birgonautes, moi, je suis en forme (as if) et mes articles seront toujours là pour vous sortir ne fût-ce que quelques minutes de votre vie morose.
(Je devrais en faire une pub, sérieux)
Et aujourd’hui, dans la rétro, j’avais envie de parler de THE trilogie. Celle qui a tout commencé, celle qui est à l’origine de tout. The motherfucker trilogy. Oui, les amis, aujourd’hui, je parle (sans m’exciter, quoique) de Star Wars.
Sortez les sabres lasers, ça va chauffer du Sith!
Star Wars, ça raconte quoi? (Je me sens obligée de l’expliquer pour ceux qui auraient vécu dans une grotte ces quarante dernières années) L’histoire de Luke Skywalker, jeune fermier vivant sur la planète désertique de Tatooine, mais qui rêve de devenir pilote dans la Rébellion contre l’Empire galactique. Un jour, deux droïdes lui sont vendus, et l’enfer se déchaine sur lui. Sa famille est massacrée, et il n’a plus d’autre choix que de fuir sa planète, le vieux sage Obi-Wan Kenobi dans ses valises. En chemin, il va rencontrer des contrebandiers, Han Solo et Chewbacca, sauver une princesse, Leia, rejoindre la Rébellion et mettre de sacrés bâtons dans les roues à son bras droit maléfique, Dark Vador…
(The résumé de merde vu qu’il manque plein d’infos importantes)
Pour ceux qui se diraient "Ouais, mais ces trois films-là, c’était de la merde, les effets spéciaux étaient pourris et tout", je vais vous rappeler, bande d’enfoirés, que l’épisode IV (oh joie de la prequel quand tu nous tiens) est sorti en 1977.
Que George Lucas a réalisé des maquettes de vaisseaux spatiaux en utilisant des bouteilles de sirop pour la toux, que lors de rassemblement de foules, il a utilisé des cotons-tiges, et que je vous emmeeeeeeeeeerde!
Certes, aujourd’hui, tels effets spéciaux tiennent du foutage de gueule. Mais personnellement, je trouve qu’ils vieillissent plutôt pas mal, les trois premiers-nés. Par rapport à leurs petits frères qui m’ont fait grincer des dents.
Côté casting, là non plus, ça ne va pas plaire aux adeptes du blockbuster à l’américaine avec des "pan pan" et des "boum boum". Les trois protagonistes principaux sont inconnus au bataillon. En tout cas, à ce moment-là. Parce que, depuis, je ne pense pas qu’il y ait une seule chaumière où les noms de Mark Hamill, Harrison Ford et Carrie Fisher soient inconnus de tous.
Seulement des Beliebers dans la salle.
Quant à l’appât le plus monstrueux de la trilogie, on ne peut pas passer à côté. Les combats au sabre laser. Alors, certes, il n’y en a à tout casser que trois, dont deux sont expédiés plus vite que la lumière, mais le duel Luke/Darkou dans The return of the Jedi aura été (et restera, d’ailleurs) l’un de mes moments de cinéma préférés.
Eeeeeeh ouais, même pas honte, filez.
Et alors, comment ne pas parler des répliques cultes? Hein?
"Luke, je suis ton père." est la phrase la plus reprise/copiée/parodiée de tous les temps.
Yoda et sa syntaxe à l’envers est l’un des personnages les plus connus au monde, même si on sait pas d’où il vient (the Blasphème avec the majuscule).
Bref, vous l’aurez compris, malgré ses quelques défauts dus à la vieillesse (nan mais sérieusement la blaaaaague), Star Wars est un must-see pour les fans de science-fiction, le père fondateur, la pierre angulaire de la SF au ciné.
Pour les sceptiques, je vous propose de regarder attentivement les génériques des films de SF que vous préférez. Si ILM est aux commandes des effets spéciaux, vous n’avez aucune excuse. Industrial Light and Magic a, après tout, été créée pour Star Wars.
Eh eh…rire machiavélique.
Note: 8,25/10 (scénario: 7/10 – jeu: 8/10 – BO: 9/10 (ce thème, mazette!) – SF: 9/10)
Aaaaand…I’m off, motherfuckers.