Ce fut mon cas, ce matin. A la différence, que j'ai compris que j'étais revenue à la réalité, quand la paluche de mon chat est venue se poser, lourdement, sur ma joue, suivie d'un "Miaouuuuuuuuuuuuuuu" déchirant, du félin affamé (enfin, heu, tout est relatif !).
J'ouvre donc les yeux, résignée à me lever mais pas à arrêter de rêver. Je note les grandes lignes de mes songes nocturnes et ouvre mon imaginaire aux possibles infinis de la vie...
Balayer les trivialités du quotidien, sourire, rêver, vivre... Essayez, vous allez adorer !
Et de passer un bon dimanche, sous vos applaudissements !
Téri Trisolini