Pas de physique aujourd’hui !Et à la place , un billet qui va peut-être susciter de l’intérêt chez quelques uns de mes lecteurs …
Une controverse ( point si éloignée que celle de LAS CASAS /SEPULVEDA à VALLADOLID sur la nature de l’âme des INDIENS) m’oppose actuellement et très courtoisement au Dr Georges Faduilhe qui est connu ici sous le pseudo de « Connaissance » ( il a publié un livre de réflexions « Sous l'arbre de la connaissance ».)
SON DERNIER ARTICLE s’intitule « TOUT NE SERAIT-IL QUE CHIMIE, CHEZ LE VIVANT ? » et j’encourage très fort mes lecteurs à lire ses textes avec leurs commentaires …..
Comme j’ai reçu hier la nouvelle forme de présentation des Dossiers de la Recherche et qu’ il est question d’intelligence artificielle, j’ai passé une partie de ma nuit à le parcourir et sa lecture a fortifié mon idée que l’avenir pourra expliquer notre forme d’intelligence « self-réflexive » par , l’évolution , la chimie et l’informatique……..
Voici quelques abstracts des articles ( copier-coller) : « dossiers n°8 Les Dossiers de la Recherche (DLR) font peau neuve. C’est une toute nouvelle formule qui vous attend. La science, évidemment toujours au cœur des thématiques explorées, y est traitée dans de nouveaux domaines : Internet, les nouvelles technologies, le numérique, la culture scientifique, et même les jeux vidéos!Dans ce numéro, un dossier spécial sur l’intelligence artificielle. Aujourd’hui les machines sont capables d’apprendre à reconnaître des objets, de s’inventer un langage et même d’effectuer des diagnostics médicaux.A quel point pourront-ils nous assister, voire nous surpasser ? Et comment leur aspect physique influe-t-il sur nos interactions avec eux ? » etc.
Tout cela est venu d’un certain désaccord entre nous sur les concepts de « conscience » et surtout de « spiritualité humaine » ….. DONT JE DOUTE TRES FORT PARFOIS
Je pars avec une pirouette : une vieille chanson de MICHEL SARDOU qui nous ramène modestement à ce que nous sommes…….
Dans les villes de grande solitude,
Moi, le passant bien protégé
Par deux mille ans de servitude
Et quelques clous sur la chaussée,
Dans les villes de grande solitude,
De nouvel an en nouveaux nés,
Quand j'ai bu plus que d'habitude,
Me vient la faim d'un carnassier,
L'envie d'éclater une banque,
De me crucifier le caissier,
D'emporter tout l'or qui me manque
Et de disparaître en fumée
Mais dans les villes de grande solitude,
Tous les héros se sont pollués
Aux cheminées du crépuscule
Et leurs torrents se sont calmés.
Alors je fonce comme une bête
Sur le premier sens interdit.
Aucun feu rouge ne m'arrête.
Je me sens bien dans ma folie.
J'ai envie de violer des femmes,
De les forcer à m'admirer,
Envie de boire toutes leurs larmes
Et de disparaître en fumée
Mais dans les villes de grande solitude,
Quand l'alcool s'est évaporé,
Je replonge dans la multitude
Qui défile au pas cadencé.
J'ai peur d'avoir brisé des vitres,
D'avoir réveillé les voisins
Mais je suis rassuré très vite :
C'est vrai que je ne casse rien …..