They’ll never see a new midnight sun
Que ça fait du bien d’être de retour, même si ça n’est que momentané ! Et oui, votre trollette Andey Z, est de retour pour s’essayer de nouveau à une mini chronique avant de reprendre du service à plein temps au mois de Mars, lorsque les choses redeviendront un peu plus calmes :). Et quelle chronique ! Vous l’avez compris, cette fois je m’attaque au nouveau single de Sonata Arctica, qui est, et de très loin, mon groupe préféré. On peut dire que je l’attendais avec un sacré mélange d’impatience et d’appréhension ! En effet, même si ce n’est pas toujours le cas avec Sonata, un single est en général plus ou moins représentatif de l’ambiance générale de l’album, et il faut dire que dans le cas de Pariah’s Child, le huitième album studio du groupe, la grande question est de savoir si le fameux retour aux sources annoncé par la remise en service de la mascotte phare du groupe et de leur ancien logo est bel et bien de mise. Même si nous savons désormais qu’il ne s’agira pas totalement d’un album façon "old Sonata" en bonne et due forme, ce nouveau single, The Wolves Die Young nous apporte quelques indications (oserais-je dire espoirs ?).
Impressions à la première écoute ? Je dirais "étonnement" et "soulagement". Oui, parce que ces dernières années on pouvait s’attendre à tout de la part de Sonata, le groupe n’ayant pas hésité à sortir totalement de son style power metal orignel pour explorer des horizons plus..alternatifs. Mais là, incontestablement, ça sonne comme du bon vieux Sonata et ce dès les premières notes ! Et wow…ça fait sacrément du bien, depuis le temps il faut dire que je n’y croyais plus trop. Bien sûr, ce n’est pas exactement "comme avant". Les années ont passé, et on sent bien au fil du morceau que ce retour en arrière est teinté d’influences bien plus récentes acquises au cours des dernières années. Mais ça sonne très bien, beaucoup plus "power metal", avec un refrain entrainant et bien dosé qui, je n’en doute pas, saura masquer les esprits.
Quoi d’autre ? L’aspect narratif, qui, même si il est assez caractéristique du groupe, a clairement été renforcé ici et ce pour mon plus grand plaisir. Et ne craignez rien, ça ne gâche en rien l’ambiance générale du morceau :). La seule chose qui me gêne un peu est la longueur de l’ensemble, 3:51, un peu plus court que d’habitude. Dommage, on aimerait en profiter un peu plus.
Pour une fois, les critiques ne se sont pas laissés emporter par un quelconque enthousiasme mal placé et les descriptions que j’ai pu lire correspondent assez bien à ce que j’ai entendu. Si retour aux sources il y a, The Wolves die Young est un très bon début, et soit dit en passant, un très bon choix de single. Il ne reste plus qu’à croiser les doigts en attendant de voir si ce petit pas en arrière vers le "good old Sonata" s’entendra également dans le reste de l’album. Rendez-vous le 28 Mars pour le savoir !
See Ya !
Andey Z.