Quand je me suis retrouvé à cette place, j’ai profité de mes accointances avec les médias pour mettre en application une idée qui me trottait par la tête. Je m’étais en effet dit à moi lors d’une conversation secrète dont j’ai… le secret : « Mon canard ! C’est pas le tout de faire le con dans ton blog tout seul dans ton coin, il faut aussi rencontrer du monde ».
J’ai invité des blogueurs dans mon fief, au Kremlin-Bicêtre puis je suis allé au café des blogs où j’ai croisé plein de militants socialos. Entre temps, j’ai rencontré un sympathique blogueur autant Jospiniste que Kremlinois. Après, j’ai suivi de près la campagne pour les municipales en rencontrant beaucoup d’huiles politiques du quartier, dont le premier secrétaire de la section du Parti Socialiste.
Ces deux derniers ont des blogs over-blog mais n’en sont pas moins sympathiques. Tout le monde est sympathique. C’est mon côté neuneu… J’aime bien tout le monde.
Ainsi, à 41 ans par le plus grand des hasards (l’évolution du blog), je me suis retrouvé à fréquenter des militants socialos et à découvrir ce monde. Je me suis même fait inscrire dans un groupe de discussion.
Sur les blogs, ça a créé une émulation ! D’ailleurs, la plupart des « vigilants » ont bien monté au classement Wikio. Par contre, j’ai découvert que les discussions politiques peuvent être âpres. Je connaissais les discussions de bistro où l’on s’engueule pour des broutilles et où l’on se retrouve autour d’un verre, pas les discussions entre militants !
Ce week-end, j’étais en week-end en Bretagne… ne voulant pas me prendre la tête, j’ai suivi les discussions d’œil discret et amusé ! « Tiens, le ton monte, on va encore rigoler ».
Ca n’est que hier soir, après mes six heures réglementaires de route que j’ai relu ça à tête reposé. Un
J’ai envie d’envoyer un message aux dirigeants socialos : « Hé ! Mesdames Messieurs ! Pour faire repartir la croissance, il faut respecter les jeunes pousses et se débarrasser des branches mortes ».
Aurélie, Don et Maxime, revenez, bordel ! Laissez tomber ce qui nous divise, le socialisme, pour faire gagner ce qui nous unit, le socialisme !
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