Habituellement, dans la profession, on utilise le "Si vous payez pas, j'tue l'otage !" Eux, ils tuent d'abord, sans prévenir et évitant le ainsi le risque d'être débusqués. Ils font chanter le gouvernement qui est moins radin que l'industriel du coin. Ils tuent. L'État paye. Ils arrêtent de tuer. Fastoche...
Fastoche sauf que, c'est bien connu, "bien mal acquis ne profite jamais"... sauf en politique.
Éditions GOUTTE D'OR
L'humour est décapant, les morts meurent pour la France, c'est donc un récit 100 % moral. La politique, le banditisme, tout est relatif. Seule la cause est importante. Et puis la démocratie mérite bien quelques entorses, on n'est pas des sauvages ! Chacun dans son coin mène sa petite vie avec ses avantages, ses prérogatives, ses espoirs et son indifférence. Alors un petit coup de mixer dans tout ça peut être salutaire.