« Nul homme ne peut adroitement accomplir ce qu’en son cœur il veut si tout cela qu’il fait ne lui semble trop peu ». C’est ce que dit Aimeric de Belenoi, cité par Cingria dans Musique et langue romane en pays romand, que je lis dans le train du retour.
Paul de Roux, Au jour le jour 5, carnets 2000-2005, édition établie et présentée par Gilles Ortlieb, Le Bruit du Temps, 2014, p. 68