Brooklyn Nine-Nine // Saison 1. Episode 16. The Party.
Je dois avouer que je ne m’attendais pas du tout à ce que l’on passe une soirée avec le commissariat chez Holt et son petit ami, Kevin Cozner. Nous allons découvrir dans cette
histoire que finalement, Kevin est le moins drôle dans leur relation et Holt le plus fantastique. Santiago de son côté est le meilleur personnage de l’épisode. Aussi bien en éternuant (bien que
ce truc fût prévisible) et en découvrant que Kevin et Holt sont fans de Bones, Sherlock, How It’s Made : Contact Lenses et Masterpiece
Mystery. Le fait que les personnages de la série soient loin du commissariat cette semaine est l’occasion pour la série de nous emmener ailleurs et surtout de nous faire découvrir Holt
dans sa vie privée. La série ne l’avait pas encore fait, prouvant ainsi qu’il y a encore de quoi creuser ici et là au travers des personnages de Brooklyn Nine-Nine. C’est assez
rassurant mais je ne remets pas en doute la capacité des scénaristes étant donné que sur 16 épisodes, je ne me souviens même pas avoir été déçu une seule fois. Kevin, le mari de Holt, est donc
incarné par Marc Evan Jackson (déjà vu dans Parks and Recreation) et je ne m’attendais pas du tout à ce qu’il soit aussi rustre.
Quand on nous parlait de Kevin je m’attendais à ce qu’il soit le côté le plus fun de sa relation avec Holt. Mais ce n’est pas du tout le cas et ce dès le début. En effet, dès que Peralta apporte
sa bouteille de piquette, on sent tout de suite le ton sarcastiquement mauvais de Kevin. Si tout le monde cherche à découvrir ce que cache Holt, Terry va jouer le rôle du père qui tente de garder
ses enfants loin des bêtises. C’est un rôle qui lui va comme un gant, encore plus depuis que l’on a vu l’épisode qui lui était consacré et qui montrait à quel point le personnage était à la botte
de ses filles. « The Party » était une occasion en or pour Brooklyn Nine-Nine de faire des choses que l’on n’a pas nécessairement l’habitude de voir
dans cette série. Cet épisode ne cherche pas à développer une histoire mais simplement à développer encore et toujours les personnages. C’est la preuve que finalement Brooklyn
Nine-Nine n’a pas besoin d’une intrigue tirée par les cheveux pour nous faire rire mais simplement d’une cohésion de groupe. C’est là que Terry, Peralta et Santiago font le show.
« Gina has brought back all the silverware that she stole from your house… Also this clock. »
« This isn't ours. »
Note : 8.5/10. En bref, un épisode différent mais très réussi et très drôle.